American Pie présente : Campus en folie (titre original American Pie Presents: Beta House) prolonge en 2007 l’élan irrévérencieux de la saga, avec une énergie de comédie universitaire très 2000s. Tourné pour le marché vidéo, il a trouvé son public grâce à son rythme festif, ses gags sans filtre et son regard amusé sur la vie en fraternité. Réalisé par Andrew Waller, le film met en avant un trio complice : John White, Steve Talley et Jake Siegel. Dans l’histoire du cinéma potache, il s’inscrit comme un spin-off emblématique, porté par l’ombre tutélaire des Stifler, et par des thèmes simples mais efficaces : initiation fraternelle, défis absurdes et rivalités entre groupes étudiants.
Erik Stifler débarque à l’université, encore un peu paumé mais motivé, et retrouve son cousin Dwight. Avec une nouvelle bande, il rêve d’intégrer la prestigieuse Beta House. Pour y entrer, il faut survivre à une série d’épreuves aussi décalées que fendardes, tout en gérant une guerre ouverte avec la confrérie des “geeks”. Pas de spoilers : disons que l’amitié, la loyauté et la recherche de reconnaissance deviennent les vrais enjeux derrière les concours délirants. Le film joue la carte d’une comédie universitaire rythmée, où la vie étudiante débridée, les gaffes et l’ego de chacun se bousculent dans une compétition constante.
Idéal si tu cherches une comédie américaine de campus sortie en 2007 centrée sur une initiation de fraternité, avec de l’humour sexuel et potache et une bonne dose de rivalités entre fraternités. On y retrouve l’ADN de la franchise, un ton sans prise de tête et des défis qui virent souvent à l’absurde. Pour les curieux, “American Pie Beta House critique sans spoiler”, “comédie universitaire à regarder entre amis”, ou “meilleurs films sur la vie en fraternité” sont des requêtes proches qui mènent naturellement à ce volet.
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| Acteurs | |
| Erik Stifler | John White |
| Dwight Stifler | Steve Talley |
| Mike Coozeman | Jake Siegel |
| Ashley | Meghan Heffern |
| Mr. Levenstein | Eugene Levy |
| Laura Johnson | Italia Ricci |
| Sharon | Rachel Skarsten |
| Candy | Erica Cox |
| Mr. Stifler | Christopher McDonald |
| Wesley | Jonathan Keltz |
| Jake Parker | Bradford Anderson |
| Nick Anderson | Robbie Amell |
| Cameo (Hot Asian Girl) | Sarah Lian |
| Frat Guy #1 | Chris Violette |
| Frat Guy #2 | Sef Wood |
| Tiffany | Ashleigh Hubbard |
| Julie | Michelle Suppa |
| Headline Stripper | Dawne Furey |
| Wesley's Stripper | Sabrina Oliveira |
| Réalisation | |
| Réalisateur | Andrew Waller |
| Production | |
| Producteur | W.K. Border |
| Ecriture | |
| Scénario | Erik Lindsay |
| Son | |
| Compositeur de la Musique Originale | Jeff Cardoni |
| Caméra | |
| Directeur de la Photographie | Gerald Packer |
| Art | |
| Design de Production | Gordon Barnes |
Les producteurs ont dû préparer les acteurs à une méthode fictive nommée "pinch pop", utilisée pour retirer les soutiens-gorge lors de la compétition entre confréries dans American Pie présente : Campus en folie.
Dans le film, la maison de la confrérie Beta House est en réalité la maison de la fraternité Alpha Delta Phi, située à l'Université de Toronto. Les scènes extérieures et la cuisine intérieure ont été filmées sur place, ajoutant une touche d'authenticité aux décors de American Pie présente : Campus en folie.
Ce film marque la première scène de nudité pour Jessica Nichols et constitue également la seule scène nue de la carrière d’Ace Hicks, qui incarne le personnage de "Hot Brunette" dans la douche du dortoir au début de American Pie présente : Campus en folie.
Parmi les lieux de tournage, le "Brass Rail" à Toronto, un club de strip-tease réel, a été utilisé pour certaines scènes de American Pie présente : Campus en folie, ajoutant un cachet brut et réaliste à certaines séquences.
Le réalisateur Andrew Waller a choisi de filmer American Pie présente : Campus en folie au Canada, plus précisément à Toronto, pour des raisons de coûts et d'avantages fiscaux, une stratégie courante pour les productions américaines souhaitant des décors de campus tout en contrôlant leur budget.