Eternal Sunshine of the Spotless Mind est un film culte du début des années 2000, né de la rencontre entre l’imagination visuelle de Michel Gondry et l’écriture labyrinthique de Charlie Kaufman. Ce drame romantique de science-fiction s’inscrit dans l’histoire du cinéma pour son mélange audacieux de réalisme intime et de poésie surréaliste, porté par des effets pratiques et un montage non linéaire. Tourné avec une approche artisanale qui valorise l’instant, il réunit Jim Carrey et Kate Winslet dans des rôles à contre-emploi, entourés de Kirsten Dunst, Mark Ruffalo et Elijah Wood. Pour ceux qui cherchent un “film d’amour sur la mémoire” ou un “film fantastique psychologique” des années 2000, cette œuvre du cinéma indépendant américain est une référence, avec une bande originale signée Jon Brion et une mise en scène inventive.
L’intrigue suit Joel et Clementine, deux ex-amoureux qui, après une rupture difficile, tentent d’effacer leurs souvenirs grâce à une procédure médicale fictive. Joel découvre que Clementine l’a déjà fait et décide de suivre le même chemin. Au fil du processus, le récit navigue entre souvenirs, rêve et réalité, comme un voyage intérieur où chaque lieu, chaque objet, ravive une émotion. Sans rien gâcher, disons que l’enjeu touche à l’identité et à la survie d’un lien affectif quand on essaye de le supprimer. On y retrouve des thèmes clés pour le SEO comme “mémoire et amour au cinéma”, “récit non linéaire”, “film sur l’effacement des souvenirs”, mais ici, ces éléments servent avant tout une histoire sensible, directe et humaine.
Au-delà du pitch, le film interroge la valeur des souvenirs imparfaits, la trace des moments ordinaires, et cette part de nous que l’on ne contrôle pas. Les scènes oniriques, les sauts temporels et les décors qui se dérobent traduisent l’angoisse et la tendresse mêlées d’une relation. Beaucoup cherchent “explication des thèmes d’Eternal Sunshine”, “analyse de Joel et Clementine” ou “signification du titre” pour comprendre pourquoi ce récit reste si vivant. La réponse tient dans l’équilibre entre la douleur de la perte et l’élan d’espoir, une émotion simple, accessible, qui parle à celles et ceux qui ont aimé, raté, recommencé.
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Les DVD & Blu-Ray ci-dessus sont classés selon plusieurs critères, le premier étant le nombre de bonus disponibles dans l'édition. D'autres critères rentrent en compte dans le classement : steelbook, édition limitée, présence de goodies, copie digitale et bien sûr le format du disque (DVD, Blu-ray, 4K UHD, etc.). Par exemple, à nombre de bonus égal, une édition Blu-ray sera toujours mieux classée qu'un DVD puisqu'elle propose une meilleure qualité d'image.
Acteurs | |
Joel Barish | Jim Carrey |
Clementine Kruczynski | Kate Winslet |
Mary | Kirsten Dunst |
Stan | Mark Ruffalo |
Patrick | Elijah Wood |
Dr. Mierzwiak | Tom Wilkinson |
Carrie | Jane Adams |
Rob | David Cross |
Hollis | Deirdre O'Connell |
Frank | Thomas Jay Ryan |
Young Joel | Ryan Whitney |
Young Clementine | Lola Daehler |
Joel's Mother | Debbon Ayer |
Train Conductor | Gerry Robert Byrne |
Young Bully | Brian Price |
Young Bully | Josh Flitter |
Young Bully | Paulie Litt |
Young Bully | Amir Ali Said |
Rollerblader (Non crédité) | Lauren Adler |
Réalisation | |
Réalisateur | Michel Gondry |
Superviseur de Scénario | Mary Cybulski |
Premier Assistant Réalisateur | Michael Hausman |
Second Assistant Réalisateur | Scott Ferguson |
Second Second Assistant Réalisateur | Peter Thorell |
Montage | |
Monteur | Valdís Óskarsdóttir |
Production | |
Producteur Exécutif | Glenn Williamson |
David L. Bushell | |
Georges Bermann | |
Charlie Kaufman | |
Casting | Jeanne McCarthy |
Blythe Cappello | |
Producteur | Steve Golin |
Anthony Bregman | |
Responsable de Production d'Unité | David L. Bushell |
Assistant de Casting | John Srednicki |
Sage Lehman | |
Linda R. Chen | |
Assistant Coordinateur de Production | Christian Brockey |
Assistant de Casting | Natasha Cuba |
Casting de Figurants | Grant Wilfley |
Assistant Responsable d'Unité | Ray Angelic |
Assistant Au Casting de Figurants | Kristian Sorge |
Ecriture | |
Histoire | Pierre Bismuth |
Charlie Kaufman | |
Michel Gondry | |
Scénario | Charlie Kaufman |
Son | |
Compositeur de la Musique Originale | Jon Brion |
Designer Sonore | Eugene Gearty |
Monteur d'Effets Sonores | Paul Urmson |
Mixage Reprise Sonore | Reilly Steele |
Eugene Gearty | |
Monteur Son en Chef | Philip Stockton |
Artiste Foley | Jay Peck |
Marko Costanzo | |
Mixeur Sonore | Tom Nelson |
Monteur ADR | Marissa Littlefield |
Monteur de Dialogues | Fred Rosenberg |
Assistant Monteur Son | Chris Fielder |
Larry Wineland | |
Opérateur de Perche | Tommy Louie |
Mixeur Foley | George A. Lara |
Monteur Foley | Kam Chan |
Frank Kern | |
Steven Visscher | |
Costume et Maquillage | |
Conception de Costumes | Melissa Toth |
Maquilleur | Allen Weisinger |
Noriko Watanabe | |
Coiffeur | Francesca Paris |
Noriko Watanabe | |
Assistant Designer de Costumes | Jill Kliber |
Fabricant de Perruques | Peter Owen |
Superviseur de Costume | Lisa R. Frucht |
Responsable des Costumes | David Page |
Cara Borrelli | |
Coiffeur Principal | Michelle Johnson |
Maquilleur Principal | Kyra Panchenko |
Assistant Décorateur Sur Le Plateau | Ruth DeLeon |
Equipe | |
Cascades | Artie Malesci |
Cort Hessler | |
E.J. Evans | |
Danny Aiello III | |
Stephanie Finochio | |
Michael Russo | |
John R. Favre | |
Bill Anagnos | |
Stephen A. Pope | |
Peewee Piemonte | |
Coordinateur Cascades | Brian Smyj |
Effets Spéciaux | Mark Bero |
Thomas Viviano | |
Coordinateur d'Effets Spéciaux | Drew Jiritano |
Caméra | |
Directeur de la Photographie | Ellen Kuras |
Machiniste | Mel Cannon |
Alison Barton | |
Tony Campenni | |
Second Assistant Caméra | Braden Belmonte |
Photographe de Plateau | David Lee |
Opérateur Caméra | Christopher Norr |
Machiniste Principal | Robert M. Andres |
Machiniste en Chef Adjoint | Chris Skutch |
Premier Assistant Caméra | Carlos Omar Guerra |
Machiniste Dolly | Lamont Crawford |
Caméra Supplémentaire | Mark Schmidt |
Chargeur de Caméra | Angela Bellisio |
"Premier Assistant Caméra ""B""" | Stanley Fernandez Jr. |
"Second Assistant Caméra ""B""" | Christopher Raymond |
"Opérateur Caméra ""B""" | Peter Agliata |
Art | |
Design de Production | Dan Leigh |
Direction Artistique | David Stein |
Décoration de Plateau | Ron von Blomberg |
Responsable de Décors | Kevin Ladson |
Assistant Directeur Artistique | Scott P. Murphy |
Hinju Kim | |
Assistant Responsable du Matériel | R. Vincent Smith |
Coordinateur de Construction | Nick Miller |
Brent Haywood | |
Coordinateur du Département Artistique | Addy McClelland |
Décors | Morgan Pitts |
Chef d'Équipe | Michael Leather |
Décorateur de Plateau | Jeffrey Rollins |
David Scott Gagnon | |
Roman Greller | |
John Roche | |
Brian Buteau | |
Assistant Décoration de Plateau | Natalie N. Dorset |
Effets visuels | |
Superviseur Effets Visuels | Louis Morin |
Mark Dornfeld | |
Producteur Effets Visuels | Michele Ferrone |
Eclairage | |
Installation éclairage | Paul Daley |
Chef Électricien | John C. Nadeau |
Joseph Quirk | |
Électricien | Andrea Cronin-Souza |
Électricien en Chef Adjoint | Mark Summers |
Chef Machiniste | John Panuccio |
Pour filmer certaines scènes en intérieur de Être et avoir, le directeur de la photographie Ellen Kuras a dû éclairer la pièce entière plutôt que d'éclairer précisément les acteurs, car deux caméras portables tournaient simultanément avec un mouvement quasi à 360 degrés sans repères fixes pour les acteurs. Cela obligeait à un éclairage diffus et souvent improvisé, avec des ampoules dissimulées dans le décor.
Pour renforcer l'esthétique particulière des images de Être et avoir, le réalisateur Michel Gondry a demandé à utiliser uniquement la lumière ambiante autant que possible, ce qui était inhabituel et difficile, en particulier avec peu de repères pour la mise en scène et des acteurs souvent en mouvement.
Lors de la scène sur le train où Joel et Clémentine se rencontrent pour la première fois dans Être et avoir, le tournage a été particulièrement ardu : ils tournaient dans un train en mouvement réel sur des rails, avec des contraintes de temps très strictes.
Le tournage de Être et avoir a exploité des méthodes techniques non conventionnelles, notamment l'utilisation de fauteuils roulants pour réaliser des travellings au lieu de dollies traditionnels, afin d'obtenir un mouvement plus instable et organique, s'inspirant des expérimentations du cinéma nouvelle vague français.
Une anecdote autour du son dans Être et avoir : à l'origine, la musique devait remplir les silences entre les dialogues lors de la première rencontre entre Joel et Clémentine dans le train. C'est la suggestion de Charlie Kaufman (le scénariste) d'inverser cela — la musique accompagne les dialogues et s'interrompt quand ils ne parlent pas — qui a changé l'effet de la scène.